Occurences de l'expression
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pour HUGUES, Clovis
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TYL L'ESPIEGLE (1906)
- Oui, monsieur notre fils est un fou réussi, v.1 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- Le Comte_d'Heverlé, notre maître et seigneur, v.5 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- Il est le Benjamin de notre châtelaine, v.7 (Acte , scène 1, ANNA)
- Ainsi que le faisaient les dames de l'autre âge, v.12 (Acte , scène 1, ANNA)
- Et montrant ce caprice entre mille caprices v.15 (Acte , scène 1, ANNA)
- D'où son cornet, ainsi que cela se rencontre, v.19 (Acte , scène 1, ANNA)
- Doit sonner, aussitôt qu'un ennemi se montre. v.20 (Acte , scène 1, ANNA)
- Jamais, tout vieux qu'il est, notre pays de Flandre v.27 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- Si notre fils, plus vain que les petits oiseaux, v.33 (Acte , scène 1, NICOLAS)
- Fils, ne pouvez-vous pas montrer votre savoir v.84 (Acte , scène 2, NICOLAS)
- Votre père a raison. v.87 (Acte , scène 2, ANNA)
- Les tours que d'autres font, on les met à mon compte ! v.98 (Acte , scène 2, TYL)
- Dans votre vieux château voltige dès l'aurore ? v.144 (Acte , scène 3, TYL)
- L'attention qu'elle a pour notre Tyl me flatte. v.155 (Acte , scène 4, NICOLAS)
- Quel piètre favori ! v.156 (Acte , scène 4, UN HOMME D'ARMES)
- J'ai le droit d'être espiègle et fou parmi les fous, v.158 (Acte , scène 4, TYL)
- De mettre un bonnet d'âne à tous vos hommes d'armes, v.160 (Acte , scène 4, TYL)
- Après nous, maître Tyl ! v.173 (Acte , scène 4, LE COMTE)
- Je le suis trop, que diantre ! v.187 (Acte , scène 4, TYL)
- Depuis hier au soir je n'ai rien dans le ventre. v.188 (Acte , scène 4, TYL)
- Et contente toujours les maîtres du château. v.189 (Acte , scène 4, ANNA)
- Et dans notre coupe pleine v.193 (Acte , scène 5, TOUS)
- Et dans notre coupe pleine v.201 (Acte , scène 5, TOUS)
- Et dans notre coupe pleine v.209 (Acte , scène 5, TOUS)
- Palsambleu ! J'aimerais mieux être au fond d'un puits v.246 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Que d'être à cette chaise attaché de la sorte. v.247 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Me cacher ? Comment fuir ? Je suffoque, je tremble. v.251 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Nous avons sur ces murs planté notre drapeau. v.257 (Acte , scène 6, TYL)
- Me remettre les clés du trésor. v.259 (Acte , scène 6, TYL)
- Ah çà ! Maître intendant, que fais-tu donc ici, v.266 (Acte , scène 6, TYL)
- Dans un accoutrement à ce point ridicule ? v.267 (Acte , scène 6, TYL)
- Quand on a de l'esprit, il faut bien qu'on le montre ! v.275 (Acte , scène 6, TYL)
- Est-ce un mal de berner les badauds qu'on rencontre ? v.276 (Acte , scène 6, TYL)
- Je ferai quatre morceaux de toi. v.309 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Ton casque me trompait, tu me prenais en traître : v.311 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Ah çà, mon maître ! v.312 (Acte , scène 6, TYL)
- Nous allons, si tu veux, jouer cet autre verre. v.331 (Acte , scène 6, TYL)
- Faquin ! Drôle ! Impudent ! Buveur du vin des autres ! v.355 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
- Et dire que tu viens de voir les saints apôtres ! v.356 (Acte , scène 6, TYL)
- Il faut être plus doux quand on revient du ciel. v.358 (Acte , scène 6, TYL)
- Mais, si pauvre qu'il semble, il me fournit des piastres, v.391 (Acte , scène 7, TYL)
- Il est plein de sols d'or, et le ciel a moins d'astres ! v.392 (Acte , scène 7, TYL)
- Je le ferai rentrer au château d'Heverlé, v.402 (Acte , scène 8, LE COMTE)
- L'âme, le contrepoids du discours. v.439 (Acte , scène 9, 6e DOCTEUR)
- Du libre arbitre. v.443 (Acte , scène 9, 11e DOCTEUR)
- Messieurs, vous me comblez, votre faveur m'honore. v.453 (Acte , scène 9, TYL)
- Eh bien ! J'y suis, mon maître et je fais ma besogne v.458 (Acte , scène 9, TYL)
- Il en faudrait six cents millions trente mille v.477 (Acte , scène 9, TYL)
- Il devait me donner des piastres à souhait. v.500 (Acte , scène 10, VAN BOCK)
- Il faut frapper ainsi, mais avec l'autre bout. v.512 (Acte , scène 10, TYL)
- Eh bien, soit. Je fais grâce à notre aimable Tyl. v.523 (Acte , scène 10, LE COMTE)
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CENDRILLON (1906)
- Est-ce ma faute à moi si votre mère un jour v.45 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Nul appui, pas d'amis. Je semblais n'être née v.48 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Votre mère me dit : « Veux-tu qu'on soit ta mère ? » v.64 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- À la fête du prince. Il doit être si doux v.74 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
- Sur ce, nous saluons humblement Votre Altesse. v.83 (Acte 1, scène 2, FRISETTE)
- J'entrerai. v.120 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
- Diantre ! v.122 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
- Et, dusses-tu céans me marcher sur le ventre, v.123 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
- J'ai quatre-vingt-dix ans : il fait froid, et j'ai faim v.129 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
- Mais sache qu'ici-bas tous les êtres sont frères, v.206 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
- Que le premier devoir est pour tous d'être bons, v.208 (Acte 1, scène 4, LA F?E URG?LE)
- S'ouvrent à la clarté des astres, au moment v.216 (Acte 1, scène 5, LA FÉE URGÈLE)
- Trois ou quatre lutins, coiffés de serpolet, v.225 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
- Ça fait sous les doigts comme un long tremblement d'ailes. v.251 (Acte 1, scène 5, CENDRILLON)
- Oh ! je tremble, je crains déjà qu'il ne s'achève. v.258 (Acte 1, scène 5, CENDRILLON)
- Maître Chat monte au siège et fait bonne figure. v.299 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
- Trois ou quatre, au besoin, et sans le moindre effort. v.325 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Sans me mettre à parler des affaires qu'ils ont. v.333 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Qui m'accuse d'avoir décacheté ses lettres. v.335 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Toujours sur mon tapis à secouer ses guêtres ! v.336 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Qui tient depuis un an notre rez-de-chaussée ! v.340 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
- Un litre de vieux bordeaux. v.376 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
- - Si je détiens ce litre en attendant qu'on l'ôte, v.396 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
- Et vous le garderez, votre secret ? v.404 (Acte 1, scène 9, MAGALI)
- De longs regards plus vifs que la clarté des lustres. v.436 (Acte 1, scène 11, CENDRILLON)
- Je voyais devant moi les fronts les plus illustres v.437 (Acte 1, scène 11, CENDRILLON)
- Maître chat disparaît, et sans fleurs, sans toilette, v.444 (Acte 1, scène 11, CENDRILLON)
- Cette nuit, tout le temps qu'a duré notre absence ? v.448 (Acte 1, scène 12, FRISETTE)
- Est-ce encore la fée Urgèle, ma maîtresse, v.460 (Acte 1, scène 12, CENDRILLON)
- L'ouïr de votre bouche est un honneur suprême. v.496 (Acte 1, scène 13, MAGALI)
- Que notre bonne fée Urgèle, ma marraine, v.499 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- Mais notre doux trésor ne nous fut pas rendu. v.510 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- Vous pourrez la nommer votre soeur adorée ! » v.516 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
- Forçons un peu. Si je pouvais la mettre ? v.519 (Acte 1, scène 13, FRISETTE)
- Bah ! Le pied n'entre point. v.520 (Acte 1, scène 13, LE PAGE)
- Il n'entre point ? v.520 (Acte 1, scène 13, MAGALI)
- Peut-être ? v.520 (Acte 1, scène 13, FRISETTE)
- Il est petit, c'est vrai ; mais, dame, il n'entre point. v.522 (Acte 1, scène 13, LE PAGE)
- Te mettre sur les rangs ? v.525 (Acte 1, scène 13, FRISETTE)
- Diantre ! v.527 (Acte 1, scène 13, UN AUTRE PAGE)
- Il n'entrera point. v.528 (Acte 1, scène 13, UNE DAME D'HONNEUR)
- Ma foi, je crois qu'il entre. v.528 (Acte 1, scène 13, TROISIÈME DAME D'HONNEUR)
- Il entre ! v.529 (Acte 1, scène 13, LE PAGE)
- Plus on a de bonheur, plus on doit être bonne. v.536 (Acte 1, scène 14, CENDRILLON)
LA BOITE A MUSIQUE (1906)
- J'ai trempé comme lui mon luth harmonieux v.27 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Voyons si je saurai comme lui faire naître v.29 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Un accord dans ces bois que mon souffle pénètre ! v.30 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Déesse, en quatre mots, j'ai quelque chose là v.53 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
- Je n'ai pas l'honneur de connaître ces dames. v.68 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Un très belle dame, assise à la fenêtre, v.87 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Me berce entre ses bras : c'est ma mère peut-être ! v.88 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
- Voilà plus de trente ans que j'avons ce bon maître, v.103 (Acte 1, scène 2, NOÉMIE)
- Et, s'il est rossignol, il le fait peu paraître : v.104 (Acte 1, scène 2, NO?MIE)
- Votre joli museau ; mais il est fait à point v.110 (Acte 1, scène 2, NO?MIE)
- Notre jeune homme songe. v.115 (Acte 1, scène 2, NOÉMIE)
- L'idéal est un fleuve où mon être se plonge. v.116 (Acte 1, scène 2, GEORGES)
- Je vivais, on m'a pris mon être, je suis mort, v.137 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Dans notre harmonieux langage de Provence. v.152 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- J'espère, et j'ai moins peur du spectre qui me suit, v.154 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Je suis garde champêtre et n'ai pour oreiller v.177 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- En troublant votre paix, de troubler mon repos. v.190 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Que vais-je devenir si votre seigneurie v.195 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- J'ai le plus grand respect pour Votre Majesté. v.197 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Ne faites plus ce bruit dans votre boîte auguste ! v.200 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Notre garde champêtre, à ce que je voyons, v.205 (Acte 1, scène 7, NOÉMIE)
- D'être monsieur le diable. v.208 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
- Vous aurez en marchant pincé votre guitare, v.211 (Acte 1, scène 7, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Avec votre sourire où tant de grâce luit, v.217 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
- Comme elle peut être ma fille, v.237 (Acte 1, scène 8, NOELLIE)
- « Je soussigné .- déclare en bon garde champêtre- v.255 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Que monsieur Bridanon, notre maire, mon maître - v.256 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Je signe : Durenflé - garde champêtre ici. » v.270 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Voulez-vous m'étourdir avec votre caquet ? v.278 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Que le sieur Durenflé, - garde champêtre ici, v.281 (Acte 1, scène 9, NOELLIE)
- Que sous ce tablier cache votre main droite. v.288 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Je suis garde champêtre. v.290 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- A ce titre vraiment, v.296 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Que contre les méchants ; v.312 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Je suis les bons apôtres v.315 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Dans les vignes des autres ; v.317 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Là vous voyez, ô treilles ! v.335 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Votre couronnement est mon étonnement ! v.358 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Mais, il suffit. Donnez la lettre, que je vole. v.359 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
- Déposer clans les mains de monsieur votre père. v.364 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Prête, pour dissiper l'ennui de votre époux, v.389 (Acte 1, scène 12, NOELLIE)
- Subir le froid, lutter contre la faim sans doute v.395 (Acte 1, scène 12, LA COMTESSE)
- Permettez-moi d'abord de donner cette lettre v.439 (Acte 1, scène 14, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Non, lisez, garde champêtre, v.440 (Acte 1, scène 14, GEORGES)
- Que dans notre village un nouvel astre a lui v.442 (Acte 1, scène 14, GEORGES)
- Votre tout dévoué : Polydore Trichard. v.446 (Acte 1, scène 14, LE GARDE CHAMPÊTRE)
- Vive l'astre nouveau ! v.447 (Acte 1, scène 14, BRIDANON)
- Vive le nouvel astre ! v.447 (Acte 1, scène 14, PAYSANS ET PAYSANNES)
- Réparons ce désastre : v.448 (Acte 1, scène 14, MADAME BRIDANON)
- Tenez, lisez ceci qui peut-être est moins mal. v.449 (Acte 1, scène 14, MADAME BRIDANON)
- Qu'est-ce donc que j'allons t'être ? v.475 (Acte 1, scène 14, NOÉMIE)
UNE NUIT DE MOLIÈRE (1879)
- Qu'à travers les ennuis des autres ! Ne pouvoir v.12 (Acte 1, scène 1, MOLIÈRE)
- Être qu'un mannequin qui souffre et qu'on admire ! v.13 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- N'être jamais soi-même un instant ! Faire rire v.14 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Être un Scapin fouetté sur le théâtre, à l'heure v.17 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Et pourtant être fier de le voir accueilli v.23 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Tous ces fats qu'au théâtre on voit aux premiers bancs v.47 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- S'abattre chaque soir dans des flots de rubans, v.48 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Pourquoi ne pas vouloir être, ô coquette Armande, v.61 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Ne peut-elle pas être une douce maitresse ? v.66 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Qui sait ? Peut-être un jour les hommes se diront, v.68 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
- Et votre coeur est faible autant qu'il est fragile ; v.107 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Vous boiriez votre sang, le sang pur de vos veines, v.109 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- C'est moi qui fus plus tard la première maîtresse v.117 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Je t'enseignai le monde et je le fis connaître v.121 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Je t'appris à chanter les douleurs de ton être ; v.122 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Je ne veux pas connaître une nouvelle ivresse : v.170 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- Qu'au triomphe bruyant des femmes de théâtre, v.193 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
- Et ce fut quelque drôle à la face de plâtre v.194 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Quelque fou qui portait le feutre sur l'oreille, v.196 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Et qu'il est bien cruel d'aimer sans être aimé ! v.207 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
- Tu seras le soldat et l'apôtre du juste, v.228 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Les astres, tout vivra dans ses vers infinis. v.262 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Il aura sous ses pieds ces quatre fiers lions : v.265 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Le forgeron des dieux dans l'antre du tonnerre. v.270 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Battre au moins pour la gloire, ô Molière, ô poète ! v.272 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Regarde : on la dirait dans du soleil trempée ! v.289 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
- Retourne à ton théâtre, ô sublime railleur ! v.293 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
LA MAISON DES DIMANCHES (1906)
- Un ordre un peu précis de la mettre sous clé... v.78 (Acte 1, scène 2, VALENTIN)
- D'être heureux ici-bas. Moi, je dis ma chanson, v.90 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- C'est un goût comme un autre. v.92 (Acte 1, scène 2, VALENTIN)
- De me dire pourquoi je devrais rougir d'être v.95 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Couchée en un bon lit, les pieds chauds, la fenêtre v.96 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Bien close, entre ces murs d'un château fort très vieux, v.97 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Qu'a peut-être hantés l'ombre de mes aïeux. v.98 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Des chevaliers, portant sur la dextre un faucon, v.102 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Une fois votre nom sur mon cahier d'écrou. v.118 (Acte 1, scène 2, VALENTIN)
- Allez. Je glisserai quatre mots à la reine, v.119 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Et votre dévouement... v.120 (Acte 1, scène 2, FANNY)
- Jamais le même nid, toujours une autre branche ! v.123 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Que vous allez ce soir couronner notre ligue v.131 (Acte 1, scène 3, RENÉ)
- Notre petit complot : le temps marche à grands pas, v.162 (Acte 1, scène 3, MADAME VALENTIN)
- Et bientôt sonnera l'heure douce à notre âme... v.163 (Acte 1, scène 3, MADAME VALENTIN)
- Que nous allons jurer ? Faut-il, comme au théâtre, v.167 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Conspirer, déclamer, rugir, tonner, se battre ? v.168 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Notre blason rayonne au milieu des ténèbres. v.172 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- J'eus pour ancêtre Hernan, qui fut un Grand d'Espagne, v.175 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Et dont le bras dompta trente rébellions. v.177 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Traîner son char d'airain. Voici notre devise : v.179 (Acte 1, scène 3, FANNY)
- Ma mère et vous, mon frère, entrez par cette porte, v.188 (Acte 1, scène 3, HENRIETTE)
- Et laissez-nous ici. C'est notre bon plaisir. v.189 (Acte 1, scène 3, HENRIETTE)
- Ma foi, je suis guerrière autant qu'on le peut être, v.239 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- Voyant que mon fusil commence à me connaître. v.240 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
- Parlons alors sans crainte, ouvrons-nous notre coeur. v.241 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Tremblantes, au hasard, sur un lit d'herbe verte. v.256 (Acte 1, scène 4, FANNY)
- Serez-vous sans pitié pour un entrepreneur ? v.282 (Acte 1, scène 5, ROGNELARD)
- Eh quoi ! Votre colère à mon sujet s'allume ? v.295 (Acte 1, scène 5, FANNY)
- Montrer le cage-fer du cardinal Balue ? v.303 (Acte 1, scène 6, LE VISITEUR ANGLAIS)
- Del drapel d'Henri quatre ! v.311 (Acte 1, scène 6, LE VISITEUR ITALIEN)
- On vous montrera tout ! v.313 (Acte 1, scène 6, VALENTIN)
- Mais, pour la lire à livre ouvert, pour pénétrer v.317 (Acte 1, scène 6, VALENTIN)
- Dans l'horreur d'un seul coup, c'est là qu'il faut entrer ! v.318 (Acte 1, scène 6, VALENTIN)
- Monsieur, on vous l'eût fait visiter à votre aise v.327 (Acte 1, scène 7, FANNY)
- Quand vous parliez moins bien notre langue française. v.328 (Acte 1, scène 7, FANNY)
- Ô ma mère ! J'ai peur, je tremble... v.342 (Acte 1, scène 7, FANNY)
- Notre enfant ! v.353 (Acte 1, scène 7, MADAME VALENTIN)
- Je suis tout simplement monsieur votre inspecteur. v.358 (Acte 1, scène 7, FINOT)
- Je lançais contre vous un terrible rapport ! v.362 (Acte 1, scène 7, FINOT)
Dans les 1895 textes du corpus, il y a 5 textes (soit une présence dans 0,26 % des textes) dans lesquels il y a 213 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 42,60 occurences par texte.
n° | Titres | Acte | Acte 1 | Total |
1 | TYL L'ESPIEGLE | 51 | 0 | 51 |
2 | CENDRILLON | 0 | 44 | 44 |
3 | LA BOITE A MUSIQUE | 0 | 51 | 51 |
4 | UNE NUIT DE MOLIÈRE | 0 | 27 | 27 |
5 | LA MAISON DES DIMANCHES | 0 | 40 | 40 |
Total | 51 | 162 | 213 |